Essai sur vieux s’immisce dans la journée d’un retraité, s’invite dans sa tête qui se débrouille pour combler les heures qui s’étirent, s’étalent, la vie qui s’étiole.
« Bien qu’il n’y ait que trois éléments sur la liste, les courses elles-mêmes se feront en deux temps. L’une dans le milieu de la matinée; car il y a toujours une retombée après l’épisode du petit-déjeuner et que les courses comblent à merveille ce petit -mais réel- risque de vide. L’autre dans le milieu de l’après-midi; parce que le phénomène se reproduit, mais après la sieste cette fois-ci. »
(-36° Editions – 2012)